Agression sioniste contre Gaza : Des frappes israéliennes sur une école tuent au moins 100 Palestiniens
Une source médicale palestinienne a déclaré samedi qu’au moins 100 Palestiniens avaient été tués et des dizaines d’autres blessés après qu’Israël a bombardé une école abritant des personnes déplacées dans le nord de la bande de Gaza.
La source, qui a requis l’anonymat, a confié à Xinhua que les corps d’au moins 100 personnes avaient été transférés à l’hôpital indonésien à la suite d’intenses frappes israéliennes sur l’école Al-Fakhoura dans le camp de réfugiés de Jabalia. Le nombre de morts pourrait augmenter considérablement en raison de la récupération continue des corps à l’intérieur de l’école et de l’état critique d’un grand nombre de blessés, a ajouté la même source. Par ailleurs, des témoins oculaires ont affirmé que des centaines de personnes déplacées vivaient dans l’école lorsqu’elle a été ciblée par d’intenses frappes aériennes et des attaques d’artillerie de l’armée israélienne. Au moins 100 Palestiniens ont été tués et des dizaines d’autres blessés après que l’entité sioniste ait bombardé l’école Al-Fakhoura qui abritait des personnes déplacées dans le nord de la bande de Gaza, a déclaré samedi à Xinhua une source médicale palestinienne.
L’Egypte a condamné samedi le bombardement « horrible » israélien contre une école de l’ONU transformée en abri dans la bande de Gaza, qui a tué au moins 100 Palestiniens déplacés à l’intérieur de l’enclave. Dans un communiqué, le ministère égyptien des Affaires étrangères a déclaré que le bombardement de l’école Al-Fakhoura constituait « une nouvelle violation flagrante » d’Israël contre les civils à Gaza et « un nouveau crime de guerre qui nécessite une enquête et oblige ses auteurs à rendre compte de leurs actes ». Selon le ministère, prendre pour cible l’école, qui est gérée par l’agence des Nations unies pour les réfugiés à Gaza, représente une insulte délibérée aux Nations Unies, à leurs organisations humanitaires et leurs objectifs humanitaires. Le ministère a réitéré son appel aux parties internationales influentes et au Conseil de sécurité des Nations unies à intervenir immédiatement pour mettre fin aux souffrances humaines dans la bande de Gaza, mettre en œuvre un cessez-le-feu immédiat et inconditionnel et assurer la protection nécessaire aux civils palestiniens.
