Politique

Présidentielle du 7 septembre : Le FLN appelle le président de la République à briguer un nouveau mandat

Le parti du Front de libération nationale (FLN) a appelé, jeudi dernier à Alger, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, à se présenter à la Présidentielle du 7 septembre pour briguer un nouveau mandant, et ce, « en reconnaissance des acquis importants réalisés par l’Algérie sous sa direction et dans le cadre de la poursuite du processus de réforme et de développement ». S’exprimant à l’ouverture des travaux de la 3e session du comité central du parti, le secrétaire général du FLN, Abdelkrim Benmbarek a appelé, au nom des membres du comité central et de tous les militants du parti, le président de la République à « se présenter à l’élection présidentielle du 7 septembre, en reconnaissance du mérite et de la sagesse de ses choix, et des acquis importants réalisés par l’Algérie sous sa direction clairvoyante et dans la cadre de la poursuite du processus de réforme, d’édification et de développement ». Il a ajouté, dans ce sens, que le nouveau mandat présidentiel constitue « la revendication de notre parti et la demande des citoyens dans les quatre coins de l’Algérie pour consolider la stabilité et poursuivre la marche », soulignant que « cet appel sincère est un gage de loyauté envers le président de la République qui a pris des engagements devant le peuple et les a honorés. C’est pourquoi, nous l’appelons aujourd’hui à poursuivre le processus d’édification de l’Algérie nouvelle à laquelle aspire le peuple ». Le même responsable a indiqué que ce choix du FLN « est dicté par le résultat du travail accompli par le président de la République depuis décembre 2019 dans tous les domaines », soulignant que l’Algérie « a réussi, grâce à ses choix rationnels, à retrouver sa stabilité à la lumière d’un contexte régional et international de plus en plus complexe et alambiqué ». « Le succès réalisé par l’Algérie mérite d’être valorisé et consolidé », a-t-il poursuivi, soulignant que « notre pays est, aujourd’hui, fort de la légitimité de son président et de ses institutions constitutionnelles sous-tendues par des règles démocratiques participatives et une souveraineté dans la prise de décision politique ».
R.N.

 

 

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